Inspiré de l’essai « Nécro-politique » d’Achille Mbembe, historien et politiste d’origine camerounaise, l’expert Lahcen Haddad explique comment le « polisario », auquel Alger a délégué la gestion des camps de Tindouf en violation du droit international, décide qui peut vivre et qui doit mourir. Utilise la mort comme « mode de gouvernance ». Autopsie. Par: Lahcen HADDAD Nécropolitique dans le désert Les camps de Tindouf
