Un énième épisode dans l’obstination perverse mais infructueuse d’un régime algérien incurablement malade du Maroc. Pour planter le décor, ce nouvel épisode s’est déroulé au sein du Parlement centraméricain (Parlacen), dont le soutien à l’intégrité territoriale du Royaume est sans équivoque. Tout a commencé le 28 mai 2025 quand un certain José Antonio Zepeda, vice-président du Groupe parlementaire de Gauche
