Le tribunal de Taza de première instance a condamné un militant à huit mois de prison, poursuivi pour “outrage aux fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions” et “diffusion d’allégations et de faux faits au moyen de systèmes informatiques afin de diffamer les gens”. Le militant des droits de l’homme a été arrêté le lundi 21 juillet 2025 par les éléments