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Dans ses réflexions sur l’art, le philosophe et historien de l’art français Georges-Didi Huberman aborde, dans son ouvrage Ce que nous voyons, ce qui nous regarde (Paris, Minuit, 1992), ce paradoxe entre ce que nous voyons et ce qui nous regarde. Partant de Joyce, auteur d’Ulysse (1922), où on trouve cette affirmation, «Fermons les yeux pour voir», Huberman la comprend