“Mon père, Aït M’hamed, était un terrassier marocain, un berbère chassé de chez lui par la famine en Algérie. Vichy et les Allemands cherchaient alors des effectifs gratuits. Il ne pouvait ni lire ni écrire les villes détruites. résume que comme ça, entre deux bouteilles, “confie l’auteur dans une interview avec Midi. Lire: le joueur de tennis marocain Abdel Nadini